La côte amalfitaine et Positano

Je n'aurais pas osé vous montrer ces photos il y a quelques jours, décence oblige!

Mais à présent que le soleil brille sur toute la France, je n'ai plus de scrupules à vous offrir ces images de l'envoûtante côte amalfitaine, où la nature y est sauvage, la mer émeraude, le ciel azuréen et le soleil omniprésent.

Là-bas, je vous assure, c'est le Paradis, sauf la plage (très peu pour moi, l'alignement sous les parasols de la station balnéaire...) !

Après le Golfe de Sorrento, nous nous sommes arrêtés dans la charmante et pittoresque petite ville de Positano, où les maisons surplombent la mer et l'église au dôme en céramique.

Bon, pour l'atteindre, ça se mérite, car on a grimpé je ne sais combien de dizaines de marches !

La légende dit que c'est Neptune soi-même qui a fondé Positano par amour pour une nymphe.

Et bien, il a été drôlement bien inspiré !

Le dôme de l'église est habillé de jaune, couleur qui rappelle les énormes citrons que l'on peut trouver sur la côte amalfitaine.

Bon, c'est pas le tout, c'est qu'il faut redescendre tous les escaliers !

Mais, comme il fait plus de 35 ° à l'ombre, on va d'abord déguster une bonne citronade pressée avec les incroyables et gigantesques citrons amalfitains.

Non, non, ce ne sont pas des coings !

Allez, c'est reparti !

Ciao et à bientôt...

eMmA MessanA 

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Les filles du bord de mer, Roberto Alagna et Adamo (album Sicilien Live)

Salvatore Adamo

Je me souviens du bord de mer avec ses filles au teint si clair

Elles avaient l'âme hospitalière c'était pas fait pour me déplaire
Naïves autant qu'elles étaient belles on pouvait lire dans leurs prunelles
Qu'elles voulaient pratiquer le sport pour garder une belle ligne de corps
Et encore, et encore, z'auraient pu danser la java

Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Z'étaient chouettes pour qui savait y faire

Y'en avait une qui s'appelait Eve c'était vraiment la fille d'mes rêves
Elle n'avait qu'un seul défaut elle se baignait plus qu'il ne faut
Plutôt qu'd'aller chez le masseur elle invitait le premier baigneur
A tâter du côté de son cœur, en douceur, en douceur
En douceur et profondeur

Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Z'étaient chouettes pour qui savait y faire

Lui pardonnant cette manie j'lui propose de partager ma vie
Mais dès que revint l'été je commence à m'inquiéter
Car sur les bords d'la Mer du Nord elle se remit à faire du sport
Je tolérais ce violon d'Ingres sinon elle devenait malingre

Puis un beau jour j'en ai eu marre c'était pis que la mer à boire
J'lai refilée à un gigolo et j'ai nagé vers d'autres eaux
En douceur, en douceur

Z'étaient chouettes les filles du bord de mer
Z'étaient bêtes pour qui savait leur plaire

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 C'est toujours une histoire de soleil...

Beignets de fleurs de courgettes

J'y penserai....

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