23 Avril 2012
Chère Lou,
Je vous vois souvent passer dans ma rue,
Droite, rapide, grande, vive...
Vous vous marrez quand votre petit garçon, parfois,
Nous évite au dernier moment sur son skate.
Je vous vois parfois à la terrasse du café du coin,
Discrète, souriante, en pleine conversation frenchie ou british.
Un jour, je vous ai vue accompagnée d'une contrebasse
Ou était-ce d'un violoncelle ?
Je ne sais plus...
Je ne vous ai jamais adressé la parole par respect pour votre tranquillité,
Mais, voisine, next time I. C. U.
I tell you that your song is great,
that your voice is so full of emotion,
and sorry for talking here (once more) of your beautiful family !
Anyway, you are a unique artist...
****
Bon, vous le savez, je suis une fan de la famille Gainsbourg, Doillon depuis la première heure, alors, c'est sûr, je suis un peu partiale.
Pourtant, le résultat n'a rien d'un avatar.
La voix de Lou est très attachante, juste et plutôt surprenante.
La chanson et la musique sont assez ensorcelantes.
Je suis conquise et je partage avec vous.
Le clip réalisé par Antoine Carlier me plait aussi beaucoup à cause des flous, des ombres et... de mon Paris bien aimé!
Je l'accompagne de l'un de mes collages que vous connaissez déjà, mais qui raconte un peu la même histoire que cette chanson, me semble-t-il...
A bientôt,
© eMmA MessanA
Paris XIème, novembre 2010 - N°148 L'Habit de l'Ange
Collage sur papier dessin 29.7 X 42cm
Fragments de papiers
Ce collage N°148, pièce unique, est disponible non encadré dans le catalogue ici
Lou Doillon, I.C.U.
1er titre du 1er album, Places, de Lou Doillon
Etienne Daho a réalisé et arrangé cet opus.
I wake up some mornings,
Thank god not as often as I used to,
Slow and heavy from dreams with you
You've found a way back in,
Once again my long lost friend,
Funny to see that after all these years,
I miss you the same
So I drag myself to the corner cafe,
And for a second I see you there,
Like in the good old days,
And I wonder what you're doing?
What are you up to these days?
I sometimes wish you would call me,
But then I wouldn't know what to say
And I see you, in every cab that goes by, in the strangers,
at every cross road, in every bar.
I see you in every cab that goes by, in the strangers,
at every cross road, in every bar.
Site de Lou Doillon : link
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