21 Mai 2017
Quand,
de corps céleste
en comète terrestre
les images se répondent,
ne restent que des souvenirs à réinventer...
eMmA MessanA
Saint-Urbain (Vendée), mai 2017 - N°346 Corps céleste
Collage sur papier dessin 24 X 16 cm
Fragments de papiers provenant de magazines
Ce collage N°346, pièce unique, est disponible non encadré dans le catalogue N°2 ici
Benjamin Biolay, Sur La Comète
Extrait de l'album Volver (Barclay/Universal mai 2017)
Pas la peine que l'on soit éloigné
Que nos corps ne soient plus emmêlés
Je préfère de mon vivant te dire
Combien je t’ai aimé
Pas besoin d'avoir bu la ciguë
Sur le cuir d'une banquette ambiguë
Je préfère dès maintenant te dire combien tu m'as ému
Car peu après c'est déjà trop tard
Comme de l’à peu près le cœur a horreur du retard
La vie dérive défile et passe
Tandis qu'on tire des plans sansas
Sur la comète
Pas la peine d'avoir à m'expliquer
Sur des torts ou des torts supposés
Je préfère dès maintenant te dire combien je t'ai aimé
Pas besoin de m'être intoxiqué
Pour te dire tes quatre vérités
Je préfère de mon vivant te dire combien je t'ai aimé
Car peu après c'est déjà trop tard
Comme de l’à peu près, le cœur a horreur du retard
La vie dérive défile et passe
Tandis qu'on tire des plans sansas
Sur la comète
Pas la peine que je sois à deux mains
Dame ou Roi sans miroir et sans fleurs
Et quel train n'arrive plus en gare
A force d’être toujours en retard
Toujours en retard