2 Juin 2014
Je sais des petits cailloux
au pouvoir magique
qui
s'ils sont repérés
sur la longue route de la patience
savent conduire
vers le plus beau des chants
vibrant
à l'unisson du pouls
d'une foule
de fidèles attentifs.
Ils attendront le tout proche lever de rideau...
eMmA
Village de Rocca San Felice (Commune d'Avellino, Campanie, 16 juillet 2012)
© photo et texte eMmA MessanA
Kani vur djan im (chant d'amour)
Instruments : duduc*, rebec**, vièle à archet, percussions
Extrait de Esprit d'Arménie (Armenian Spirit). Alia Vox, septembre 2012
Georgi Minassyan, Haïg Sarikouyoumdjian, Gaguik Mouradian, Armen Badalyan | Hespèrion XXI / Jordi Savall
* Le duduk, doudouk, duduki, doudoug ou dadouk (en arménien Դուդուկ) est un instrument de musique arménien à anche double comme le hautbois que l'on retrouve dans de nombreux pays : en Géorgie, en Iran et en Azerbaïdjan, où il se nomme balaban, et dans le Turkestan chinois balaman.
** Le rebec (selon une version, mot d'origine arabe : رباب - rabāb) est un instrument de musique médiévale. Selon certains, il fut probablement introduit entre le XIIe siècle et le XIVe siècle en Europe par les Maures à travers l'Espagne. Le terme rebec apparaît la première fois en 1379 dans « Le bon berger » de Jean de Brie. Il se distingue du rabel espagnol par sa caisse bombée. C'est une forme de vièle proche de la lyra. Cependant sa forme rappelle bien davantage la lyra grecque existant dès les débuts de l'Empire byzantin.
Un certain Lancelot Le Vasseur fut joueur de rebec, musicien de la Chambre sous François 1er de 1514 à 1536.
Source wikipedia
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