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lumière, lumières, Lumières

Le déconfinement  est là, mais ma commande de goinfre que j'attends ardemment (dix titres) n'est toujours pas arrivée chez ma libraire.
Heureusement, je n'ai pas vraiment encore épuisé ma pile de livres qui attendent d'être lus, bien qu'elle diminue sérieusement. 
Et puis, je prends le plaisir aussi à continuer mon petit jeu du #Collage de titres

Voici donc la phrase du jour : 

C'est moi qui éteins les lumières.

Seul dans le noir, je tousse de la lumière, comme une chanson dans la nuit.

Continuer le triomphe des Lumières...

15 mai 2020, collage de titres : C'est moi qui éteins les lumières. Seul dans le noir, je tousse de la lumière, comme une chanson dans la nuit. Continuer le triomphe des Lumières...

15 mai 2020, collage de titres : C'est moi qui éteins les lumières. Seul dans le noir, je tousse de la lumière, comme une chanson dans la nuit. Continuer le triomphe des Lumières...

Le sens moral des hommes peut aussi s'opposer frontalement à leur bien-être. Ils diabolisent ceux avec qui ils ne sont pas d'accord, et prennent pour des marques de stupidité et de malhonnêteté ce qui relève d'une divergence d'opinions. Pour chaque malheur, ils cherchent un bouc émissaire. Ils se fondent sur la moralité pour condamner des rivaux et susciter l'indignation à leur égard. Les motifs de réprobation peuvent procéder d'un tort que les accusés ont causé, mais peuvent aussi se fonder sur le reproche d'avoir bafoué la coutume, remis en question l'autorité, sapé la solidarité tribale, ou de s'être adonnés à des pratiques sexuelles ou alimentaires considérées comme impures. (…)

Steven Pinker (in Le triomphe des Lumières, éd. les arènes, p; 41)

C'est moi qui éteins les lumières, roman de Zoyâ Pirzâd publié chez Zulma, traduit du persan (Iran) par Christophe Balaÿ, dédicacé en français et en farsi par l'auteure, lu en mai 2011 à Paris XIème.

Le marque-page : une carte postale publicitaire de la jolie brasserie parisienne L'Européen où j'ai de très beaux (et délicieux) souvenirs.

Seul dans le noir, roman de Paul Auster publié chez Actes Sud, traduit de l'américain par Christine Le Boeuf, lu en août 2009 à Paris XIème.

Les marque-pages : un signet en carton de la librairie l'Arbre à lettres Bastille où j'avais mes habitudes et une carte postale de New-York que mon fils, alors steward chez Air France pendant ses vacances d'été 2008, nous avait écrite depuis l'Empire State Building.

Je tousse de la lumière, recueil de poésies d'Euridice El-Etr publié chez La Délirante, acquis au Salon du Livre de Paris et lu en mars 1987.

Le marque-page : une jolie carte de remerciements qui commence par "Chère Madame" et dont je ne vois pas qui en est l'expéditeur...

Comme une chanson dans la nuit, récit d'Alain Rémond, publié aux Éditions du Seuil, lu à Griesheim-sur-Souffel en 2003.

Le marque-page : une carte de vœux rigolote de mon frère et ma belle-sœur.

Continuer, roman de Laurent Mauvignier publié aux Editions de Minuit, lu en novembre 2016 à Saleilles.

Le marque-page : une carte postale reproduisant une estampe "Art d'écrire".

Le triomphe des Lumières, essai de Steven Pinker publié aux éditions les arènes, traduit de l'américain par Daniel Mirsky, en cours de lecture à Saint-Urbain (Vendée).

Le marque-page : la carte de vœux 2020 de la mairie de Saint-Urbain.

 

Bonnes, très bonnes lectures à tous. 

eMmA MessanA

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