4 Mai 2017
Bien sûr,
il vaut mieux avoir la peau douce
pour faire des appels de fards...
eMmA
© eMmA MessanA
Paris XIème, janvier 2014 - N°225 Confidences sous les étoiles
Collage sur papier dessin 24 X 32cm
Fragments de papiers provenant de magazines
Ce N°225, pièce unique, est disponible non encadré dans le catalogue N°2 ici
(le copyright en filigrane n'apparaît pas sur le collage d'origine)
Etienne Daho, La Peau Dure. Extrait de son treizième album éponyme (Polydor, novembre 2013)
Bien sûr,
je connais tes plaies, tes blessures, cyanure
tes souvenirs ont la peau dure, fêlure
à chacun son chemin, chacun ses déchirures,
mais je les ressens comme toi
Fracture,
poussé seul sur un tas d’ordures, tortures
redouté d’être une imposture, froidure
qui nous gerce le coeur
et rouille les jointures
oui, je les ressens
Quand les larmes de l’enfance
toute la vie sont murmures
où sont l’épaule et les mots qui te rassurent
oui les armes de l’enfance
te font le cuir et l’armure
et assèchent les rivières
que tu pleurais hier
Griffure,
je lèche ta triste figure, morsure
ton sang et ses éclaboussures, roulure
les salauds qui peu à peu, nous ont à l’usure
oui je les ressens
Quand les larmes de l’enfance
toute la vie sont murmures
où sont l'épaule et les mots qui te rassurent
oui les armes de l’enfance
te font le cuir et l’armure
et assèchent les rivières
que tu pleurais hier
Bien sûr,
je connais tes plaies, tes blessures, cyanure
tes souvenirs ont la peau dure, fêlure
à chacun son chemin, chacun ses déchirures,
mais je les ressens comme toi
Oui, je les ressens comme toi...
Oui, je les ressens comme toi
Ouais, je les ressens comme toi.
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