11 Octobre 2017
Je viens de recevoir mes deux exemplaires. C'est beau et je suis ravie du résultat !
Je crois que Quichottine, qui manage le tout, est très contente du nombre de souscriptions et des ventes, et donc forcément, du résultat attendu pour exaucer quelques rêves d'enfants malades.
Merci de continuer à vous intéresser à Voyages (lire plus bas).
A bientôt,
eMmA MessanA
Les 113 auteurs/illustrateurs que nous sommes à avoir participé à la 5ème Anthologie Ephémère, Voyages, initiée par Quichottine, offrons les droits d'auteurs dont le but est de permettre à un enfant très gravement malade de réaliser son rêve.
Quichottine nous apprend que depuis la toute première Anthologie Ephémère en 2011, ce sont plus de 8000 euros qui ont été versés à l'Association Rêves ! De quoi être fiers et heureux de poursuivre l'aventure avec ce 5ème ouvrage collectif.
Pour mieux connaître Les Anthologies Ephémères, rendez-vous chez Quichottine en suivant ce lien(clic).
Je sais bien que chacun est fort sollicité régulièrement, moi-même ici dans ce blog, je fais appel à votre générosité souvent, notamment pour d'autres enfants, ceux qui habitent à 8000 km de chez nous à APRES SCHOOL, mais je le fais quand même encore aujourd'hui en vous proposant l'achat de ce livre dont voici les jolies première et quatrième de couverture créées par Solyzaan :
Pour vous procurer ce recueil composé de 118 récits, poèmes, nouvelles et images, conçus par 113 auteurs et illustrateurs dont le plus jeune a 7 ans, reliez le site de TheBookEdition.com (clic).
Ma participation est le collage Le voyage musical, ainsi que les quelques mots qui l'accompagnent, dont je vous livre plus bas un extrait.
Pour minimiser les coûts, l'ensemble du livre est édité en noir et blanc. Je vous montre donc les deux versions du collage.
Je vous souhaite une bonne lecture et vous espère nombreux à vous procurer cet ouvrage car plus nous en vendrons et plus le nombre de rêves d'enfants malades seront réalisés.
Bien à vous,
eMmA MessanA
Le voyage musical (extrait)
Capitale, jour de neige.
L’homme passe dans la rue, comme une ombre pesante s’affaissant sur les murs, le regard suivant ses pas au ras du sol, lourds et collants…
Au numéro 29, il entend que se déroule au piano, la gamme de do, la gamme de sol.
Le toucher est doux et délicat, légèrement hésitant. Sûrement un enfant s’appliquant dans le prélude de lendemains virtuoses.
L’homme, surpris, s’arrête. (...)