19 Juin 2019
Série #Collage de titres (mon jeu d'été consiste à faire une phrase avec le titre de trois ouvrages choisis dans ma bibliothèque personnelle, sans aucun rapport entre eux quant à leur contenu).
Lire, lire et relire. Un bonheur auquel je m’adonne quotidiennement.
Coller, décoller, recoller. Un autre bonheur auquel je me dédie entièrement dès que l’inspiration et la disponibilité me le permettent.
Aujourd’hui, j’associe avec facétie mes deux passions en collant les trois titres des ces livres magiques choisis dans ma bibliothèque et que j’ai beaucoup aimés.
Voici ce que cela produit :
Les derniers jours de Charles Baudelaire, l’enchanteur, le voyageur magnifique.
Cela pourrait donner lieu à l’écriture d’un autre roman, un autre regard porté sur la poésie de la vie. Tout n’est-il pas une source d’émerveillement, de création nouvelle, d'émotions à vivre ?
Pour l’heure je relis le merveilleux, le poétique et le profond l’Enchanteur de René Barjavel lu en mars 1984. Je le relie au non moins merveilleux Le Voyageur magnifique d’Yves Simon lu en septembre 1987 et Les derniers jours de Charles Baudelaire de Bernard-Henri Lévy lu en septembre 1988.
Belles, très belles lectures à tous,
eMmA MessanA
C'était une époque où se produisaient fréquemment des événements inexplicables, et quand ils étaient agréables on en profitait sans en faire un problème. On ne croyait pas uniquement à ce qui était raisonnable. La raison rétrécit la vie, comme l'eau rétrécit les tricots de laine, si bien qu'on s'y sent coincé et on ne peut plus lever les bras.