21 Octobre 2024
21 octobre 2024 C'était il y a longtemps déjà, mais un récent épisode me rappelle cette page que je n'avais en fait jamais oubliée...
9 juin 2015
La petite histoire d' #anecdote autour du collage du jour:
Il y a six ans, je reçois un mail émouvant d'une personne qui venait de parcourir ce blog de collages. Elle me faisait savoir qu'elle était tout heureuse de l'avoir trouvé pour une raison précise.
Le problème, c'est qu'elle imaginait que je pouvais restaurer un grand collage en sa possession, acheté à un célèbre artiste américian, qui avait subi un dégât des eaux.
D'une part, la restauration d'oeuvres d'art est un métier à part entière dont je ne possède ni la technique, ni les quatlités. D'autre part, il me semble que cela doit tenir du miracle que de pouvoir restaurer des oeuvres de papier complètement ruinées par un séjour prolongé (ou pas) dans l'eau. Enfin, je ne suis pas spécialiste en la matière...
Toujours est-il que j'ai informé mon interlocutrice de mon incompétence à travailler sur son magnifique collage pour lui rendre sa forme d'origine.
J'étais d'autant plus réservée et totalement réfractaire lorsque j'ai appris que l'oeuvre en question était l'une de celles de l'artiste américain Walter Cade III (né en 1936).
Il a notamment réalisé un certain nombre d'oeuvres dont les façades sont ouvertes sur des fenêtres habitées par d'étranges personnages.
Alors, devant mon impuissance à répondre favorablement à sa demande, j'ai voulu tenter une petite sorte de "consolation" en m'inspirant de cet univers pour composer ces deux collages "à la manière de", et Ultra fun III (visible ici).
Je pense que ce fut la première fois que je répondais à une "commande" (qui en fait n'en était pas une).
Comme je n'ai jamais reçu de réponse de cette personne, j'en déduis qu'elle a jugé mon travail inintéressant et surtout à des années lumière de archi coté...
Cet épisode m'avait permis de connaître le travail de ce merveilleux artiste et là, c'est le côté positif de cette anecdote.
A bientôt,
Paris XIème, novembre 2009 - N°115 Fenêtres sur rêves III
et sa famille en sont les fondateurs
Version Elton John + Billy Joel
Billy Joel, Piano Man
It's nine o'clock on a Saturday
The regular crowd shuffles in
There's an old man sitting next to me
Makin' love to his tonic and gin
He says, "Son, can you play me a memory
I'm not really sure how it goes
But it's sad and it's sweet and I knew it complete
When I wore a younger man's clothes."
La la la, di da da
La la, di da da da dum
Sing us a song, you're the piano man
Sing us a song tonight
Well, we're all in the mood for a melody
And you've got us feelin' alright
Now John at the bar is a friend of mine
He gets me my drinks for free
And he's quick with a joke or to light up your smoke
But there's someplace that he'd rather be
He says, "Bill, I believe this is killing me."
As the smile ran away from his face
"Well I'm sure that I could be a movie star
If I could get out of this place"
Oh, la la la, di da da
La la, di da da da dum
Now Paul is a real estate novelist
Who never had time for a wife
And he's talkin' with Davy, who's still in the Navy
And probably will be for life
And the waitress is practicing politics
As the businessmen slowly get stoned
Yes, they're sharing a drink they call loneliness
But it's better than drinkin' alone
Sing us a song you're the piano man
Sing us a song tonight
Well we're all in the mood for a melody
And you got us feeling alright
It's a pretty good crowd for a Saturday
And the manager gives me a smile
'Cause he knows that it's me they've been comin' to see
To forget about life for a while
And the piano, it sounds like a carnival
And the microphone smells like a beer
And they sit at the bar and put bread in my jar
And say, "Man, what are you doin' here?"
Oh, la la la, di da da
La la, di da da da dum
Sing us a song you're the piano man
Sing us a song tonight
Well we're all in the mood for a melody
And you got us feeling alright